Livre d'Or de Ptitange1974

Bonheur,est te voir revenir
D'avoir cru en l'avenir
Aprés, ce cauchemar d'une nuit
Qui dés l'aurore, fuit
Les lumiéres de l'espoir
La forteresse du rêve

Durant ton absence
J'ai déclaré ma désobéissance
Aux rituels de la poèsie
Aux rituels de la folie
A ces hasards sans joie
Sans clémence, sans loi

Par ton retour
Une nouvelle victoire
De l'espoir, de l'amour
Ecrite sur ces pages
Qui se vident, comme toutes les plages
A l'arrivée du froid et de la nuit
Des regrets et des ennuis

A suivre

Poème : Quimper


O mes écrits nouveaux ! Je veux qu’ils outrepassent
Le ciel ! Le poète fidèle à son rêve impossible !
Attelé dans les bras solides de la Muse
Il écrit sur l’azur envers du Paradis.
Gentil Quimper, le nid de mon enfance
De lierre, ormeaux, roches tout tapisse,
Vois ce, d’un tendre effort, qu’à ta face
J’offre ! Un miroir de hêtres et de houx
Hêtres et houx cachant nos jeux de courses
Par intervalle dans l’étroite vallée !
Ayant confi é le cartable à la mousse
Avec les compagnons j’ai folâtré
Mère ou servante, le dos à la feuillée
Brodait, cousait ou ravaudait les bas
Sans craindre trop la pente ravinée
Car les quinconces protégeaient nos faux pas.
Du haut en bas ce n’était que feuillage
Piécettes d’ombres et pièces de soleil
Sur une haie c’est du linge qui flotte
Troupeau gardé par un la vieille au bâton
Nous, lévriers de la terre moussue
Nous poursuivons dans les couloirs de hêtres
Blancs, hérissés parfois d’éventails de rameaux
En bas, l’Odet aux ponts de fer multiples
Se gargarise interminablement.

Poème : Hymne gaéliques


J’incline ma tête
Sous l’oeil de la Mère qui m’a donné naissance,
Sous l’oeil de la Vierge qui m’aime,
Sous l’oeil de la Crone qui me guide en sagesse,
En amitié et en affection.
De par Ton offrande de la nature, Ô Déesse,
Accorde-nous l’abondance dans notre besoin :
L’amour envers la Dame,
L’affection de la Dame,
La gaieté de la Dame,
La sagesse de la Dame,
La passion de la Dame,
La bénédiction de la Dame,
Et la magie de la Dame,
Pour faire dans le monde d’Abred
Comme font les Sans-Âge à Gwynfyd :
Chaque ombre et chaque lumière,
Chaque jour et chaque nuit ;
A chaque moment de félicité,
Accorde-nous Ta clairvoyance

Re Sandra,

Je viens de relire une grande partie de tes poèmes et il y en a bcp qui sont très personnels à ta vie ou plutôt "moment de ta vie" et je trouve qu'il faut bcp de courage.

Mais je t'ai déjà dit ce que j'en pensais...p)

Et on distingue d'un autre côté ceux où tu t'investis pourune cause ou 1 personne bien précise dont un en particulier m'a donné les larmes aux yeux : "La Prostituée de 14 ans".

C'est pour te dire à quel point tes poèmes atteignent le coeur des lecteurs. Je ne sais qu'ajouter si ce n'esr de persévérer car ça ne doit pas et surtout , ça ne peut pas s'arrêter...

[move]Manu[/move]

Je viens te rendre visite souvent, si tu suis mes traces, regardes en bas, tu me trouveras. TON AMI:)

Super ton site et tres bien fait Mon Amour ...

J'adore

Je t'aime Fort ...

Ton Ange

Dans ce virtuel
Je descendrai du ciel
Comme le pére Noel
Je te dirai, que dans ce temps avare
D'amour et d'abnégation
Tu es l'exception
Par tes passions
Par tes poémes, par tes chansons
Nous rêvons, nous dansons
Nous aimons, nous pensons
Aux autres
Qui par toi, deviennent des notres
Que ce temps avare témoigne
Dans son histoire
Difficile à lire, difficile à croire
Que toutes les blessures se soignent
Par notre petit ange
Qui cueuille les fleurs
Pour les offrir à tous ces coeurs
Que le désespoir ronge

Le pére Noel
Remonterait au ciel
Cette fois, il n'a pas donné
Mais, de toi il a reçu
Un cadeau jamais imaginé
L'indifférence agonise
L'abnégation triomphe
Partout la vie est belle
Dans le virtuel
Dans le réél

Bravo
=======

p)p)p)
:):):):)

:p J'aime ton site officiel, alors je suis heureux d'y laisser ma signature ici, mlême si ce livre d'or est repris, c'est quand même agréable de pouvoir écrire dessus.

:p:p:p:p:p:p:p:p

Et encore bravo pour ta publication...p)p)

Signe de la paix
Dans un monde de guerre
Nos mains se tiennent
Ne voulant se séparer
Quoi qu'il advienne
Au risque d'une liberté
Unis dans cet amour
Que l'on risque chaque jour
Dans le plaisir d'écrire
Ce que l'on a envie de dire
Existe t'il en cela encore une liberté
Un danger d'être persécuté
Pour certains si
Pour d'autre peut-être
Pour nous aussi
Car certains écris ne peuvent être
Alors prenons le risque
D'être anarchique
A vouloir espérer
Un monde d'égalité

Ton blog est adorable, mais il faut secher tous ces chagrins.

Etreindre l'enfant pour le bonheur de chacun...
Voici un poème écrit pour ma fille voici quelques années déjà :


Le château de sable


Deux papillons posés sur mon épaule
s'ouvrent et se referment
Une vague saturée de leurs reflets
s'est jetée contre et par dessus l'enceinte
lançant ses forces tentaculaires étreindre
la tour à sa base

Invite au retrait
doucereux
maritime

La plage est magique
et le soleil extraordinairement puissant
accroché dans les cieux
par les mains de l’enfant

Deux papillons posés sur son épaule
nous nous élevons ensemble.

Tu les vois les papillons de tes enfants posés sur ton epaule, sandra ?

Mes amitiés.;)