Livre d'or

Quelle émotion! toute ma jeunesse, en effet je suis né en juin 1937. Merci bien monsieur Ribet de cette touchante attention. Pichon Roger.

bonjour
felicitations sur les souvenirs d un écolier.
liliane.

Belles scénes de vie. Merci pour ce retour d?expériences et ce voyage dans le passé.
Bien à toi
AnneCap

Souvenirs, souvenirs, un regard, sur un passé qui n?est pas aussi loin que cela, merci de nous permettre de fouiller dans notre jeunesse?

Bonjour,
Beaucoup d?émotion devant ces textes et ces photos. Mon père faisait 6 kms à pied pour aller à l?école de musique du canton.
Cela me rappelle l?autobiographie de J.C.Carrière (je crois) qui, visitant l?école de son enfance ?reconstituée? écrivait ?J?ai vu mon enfance au musée?!
Bravo!

Claude, maintenant que tu as mes coordonnées, j?espère te retrouver bientôt.
Que de souvenirs en commun, à bientôt B25 !
JPH.

Une belle page pleine de nostalgie, avec un regard personnel, politique digne d?intérèt. Je vous remercie. Françoise

Bonjour Pat, bonjour Claude,
C?est un très beau blog, digne d?intérèt où assurément on y apprend une quantité d?information historique, locale, et loin des élites parisienne la vie des personnages de votre commune aussi célèbres les uns que les autres. J?ai eu plaisir également à parcourir les merveilleuses pages du site. Le texte de Claude sur la Démocratie en danger est très bien écrit. Bravo à tous les deux. Michèle.

Lorsque je regarde tous ces visages, dont certains me sont très familiers, je revois et redécouvre bien évidement ce que fut pour moi mes années école dans notre belle commune d?Aubigné Racan. L?odeur de la cour, l?odeur des tables en bois, l?odeur de la craie sur l?ardoise, l?odeur de l?éponge, le parquet de la classe qui fallait gratter et astiquer au moment du départ pour les grandes vacances scolaires. Je revois avec une touche émotionnelle madame Marion, mademoiselle Renard, monsieur Bureau, madame Kresser, madame Cotron, monsieur Travouillon, monsieur Villette et monsieur Tuel. Tous ces éducateurs exceptionnels qui m?ont tant apprit et tant donner. Lorsqu?il m?arrive d?être dans le cafard à cause de mes douleurs, j?ai alors cette faculté de me replonger dans le pays de mon enfance, dont pourtant André Dhôtel pensait qu?il s?agissait du pays où l?on n?arrive jamais. Tout comme vous mon cher Claude, je n?ai jamais oublié mes petits camarades d?alors, ceux qui sont décédés depuis, j

Cher Claude.
je viens de consulter la page.
Très émouvant et nostalgique. En tant que collègue de travail, nous avons eu souvent ce genre de discution. Rappelle-toi un certain collègue qui nous disait connaître tout BRASSENS et qui n?avait rien compris aux textes, comme beaucoup d?autres.
A bientôt.
Philippe.HAMDOUN.