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Tony
Au revoir Grand Monsieur Salvador !!

Vous nous avez apporté tant de bonne humeur et de douceur dans nos coeurs !!

Malheureux de vous perdre, je suis aussi heureux de savoir que vous êtes parti sans souffrance !!

[move]Reposez en paix !![/move]
Katie
Merci pour lui avoir rendu ce bel hommage !!
Je me suis amusée à compter vos photos sur votre montage et j'ai constaté que vous avez tenu compte de son grand âge !! Un sympathic clin d'oeil.

C'était... J'ai plutôt encore envie de dire que c'est un grand monsieur qui nous a quitté mais comme vous le dites si bien, il nous laisse de belles choses, de belles mélodies, de belles paroles, et surtout sa belle envie de vivre !!

Ma vie et celles de mes enfants ont été marquées par de si beaux souvenirs et par ses innombrables fous-rires !!

A mon tour, je vous remercie Monsieur SALVADOR, vous êtes le Grand Oncle de la France !! Je crois en effet que nous aimons tous ici !!:p

Repose en paix !!
Caly's Art
Voici ce que j'ai trouvé en me balladant sur différents sites consacrés à Monsieur Henri SALVADOR (et cela lui ressemble tant) :


Sa bonne humeur nous est arrivée même en Nouvelle-Calédonie où son Concert au centre TJIBAOU nous a bercé entre rire et douceur...

Voici ce que Mr HENRI aurait pu dire à la France qui le pleure...

Mais pourquoi pleurez-vous, madame ?
Quels sont ce chagrin et ces larmes versés de si beau matin ?
Pourquoi tant de peine en cette Saint-Valentin ?
Balayez d'un revers ce drame !

Quelle est cette peine, madame ?
Assise sur ce banc, les yeux mouillés de larmes,
Il fait pourtant beau et un homme de mon âge
Ne veut de tristesse en votre âme.

Non ? Mais rassurez-vous, madame !
Cet homme est loin d'avoir souffert et je le dis,
Toutes ces années de musique lui ont prédit,
Une retraite haut de gamme !

Trois belles générations, madame,
Empruntes de rires et de succès bien humains,
Il veut que son sourire nous chasse nos chagrins,
De la joie de vivre qu'il émane.

Mais il faut bien mourir, madame,
Un jour laisser la place à de jeunes talents,
Reculer sans bruit et se retirer du rang,
Souriant, authentique, vivace.

Que ce sourire vous va, madame !
Veuillez garder mon feutre blanc sous vos beaux yeux,
Pendant ma partie de boules avec le Bon Dieu
Qui s'impatiente de mon grand âge.

Si vous passez un jour par Syracuse,
Demandez de ma part cette chambre avec vue,
Bercez-vous de la chanson douce de la vie,
Et vous remercierez ce cher Henri.