Mon livre d'or

"Sans rime ni raison", un recueil de poésie libre, sans contrainte aucune à l'image de son auteur ! On y rencontre le quotidien, l'intime et l'universel d'une année. On y retrouve la chanson douce-amère d'une femme-poète qui dirige sa lorgnette un peu partout et distille avec pudeur, finalement, beaucoup de tendresse.

Un nouveau recueil en guise d'"exutoire", quelle bonne idée ! Encore des histoires douces-amères, parfois francehement noires, écrites dans le style direct qui te caractérise. Mes nouvelles préférées ? "Les manies d'Elsa" et "Une bouée, rien qu'une bouée"... Et la phrase qui clôt l'ensemble : "... si perdre la raison c'est parler à l'océan, je veux bien être folle". Bravo Marie !

merci à tous pour vos petits mots qui me font chaud au coeur

"Pas facile de trouver les mots" : Marie les trouve très bien les mots pour chanter des thèmes qu'elle aime, la séparation, la mort, la peur, la tristesse... Pas de pathos pourtant car une certaine pudeur, une certaine élégance aussi font que le poème s'achève souvent au moment même où surgirait un tragique poignant. Le plus "léger" de ces textes est aussi mon préféré,"Le nez au vent", très joli poème où le chien a la vedette !
Bravo, Marie !

coucou ma tite Marie !
je ne viens pas souvent ici, mais je parle avec toi tous les jours, sur le forum, par e mail, j'ai lu tes poésies et tes nouvelles et je te redis ici combien j'aime ce que tu écris, ta façon simple et directe de t'exprimer.
A te lire, je te connais sans t'avoir jamais rencontrée, toi Marie de Picardie. Reste toujours aussi authentique et belle, tu me plais comme ça.
Ysandre le lémurien

Ils en font des histoires, tes petits mots, chère Marie ! Et tu en fais voir de toutes les couleurs à tes lecteurs ! Je crois avoir lu tous tes livres et, cette fois encore, je m?amuse à retrouver ta manière vive de raconter, ta façon directe de camper tel ou tel personnage. Pas de doute, je reconnais l?auteur ! Pour moi, c?est dans le genre de la nouvelle que tu es le plus à l?aise, y compris dans un texte plus long comme le dernier de ce livre ; tu mènes ton récit tambour battant et le lecteur ne peut que t?emboîter le pas jusqu?à la phrase finale !
Toutes les histoires sont intéressantes à lire mais j?ai un faible pour Miracle, à cause de sa chute, bien amenée !

"Bastide" : une très jolie couverture de l?auteur (comme d?habitude !), un format inhabituel et sympathique, un titre qui sonne bien.
La lecture de ce court roman de 139 pages est facilitée par une mise en pages aérée et une police de bonne taille.
Voilà une histoire rondement menée en neuf chapitres, avec des rebondissements inattendus qui entraînent le lecteur au sein d?une intrigue très imaginative ! Les portraits tracés à grands traits et les descriptions rapides me font penser au genre de la nouvelle, une nouvelle qui, certes, serait un peu longue, mais en adopterait le rythme et la tonalité. Et l?on sait à quel point Marie cultive ce genre littéraire?
Je ne révèlerai pas le mot de la fin ! Je dirai simplement qu'elle est tout à fait dans la manière de Marie !

Je viens de t'envoyer un message mais je ne sais pas si l'adresse est bonne;
la mienne n'a pas changé/
nicky.barthe@wanadoo.fr
bisous

Bravo, bravo, voilà un prix mérité dont tu pourras jouir jusqu'au prochain, car je crois en toi. Tonamileila

Pourquoi ne pas l?écrire en effet ? Je viens de terminer le dernier recueil de Marie Chevalier, enfin le dernier sorti car je suis certaine qu?un autre est déjà en route !
Une trentaine de nouvelles de longueur variable, avec toujours cette musique teintée d?amertume ou de tristesse, pourtant presque gaie parfois, avec une pirouette finale qui peut amener chez le lecteur un sourire complice ou mi-figue mi-raisin car la provocation n?est pas loin ! De temps à autre, on croit deviner une histoire liée au vécu de l?auteur mais est-ce si sûr ?
« Pauvre Mathilde ! » et sa fin plutôt noire ne m?ont pas laissée indifférente. J?ai remarqué aussi « Une trahison mortelle » dont la fin m?a paru bien amenée, « Par tous les diables ! », micronouvelle très imaginative, « Ma chère Suzanne » une drôle de lettre?
Bref, il faut lire ce recueil qui ressemble à son auteur !