Scribo

Dieugénisme
«Je vous salie Marie pleine de vices, Le Seigneur est en Vous, Je vous honnit entre toutes les femmes, Et Jésus le fruit de vos entrailles est pourri, Soumise Marie, chienne de Dieu, Jouissez pour nous, pauvres pécheurs, Maintenant et à l'heure de notre mort.»
Amen!
Ils arrivent d'outre sens
Pour te couvrir de leurs essences,
En ne laissant de leurs Fragrances
Que douleur, flash back d'enfance,
Anal Jésus au Paradis
Blasphème, nu, où il a joui
Saphique Marie au Paradis,
Blasphème, nue, où elle a joui,
Dieu, tes fils sont des chiens soumis,...

...Elles arrivent en d'autres lieux
Pour t'inviter a jouer leurs jeux,
En ne laissant sur le plateau
Que la défaite pour seul cadeau,
Anal Jésus au Paradis
Blasphème, nu, où il a joui
Saphique Marie au Paradis,
Blasphème, nue, où elle a joui,
Dieu, tes filles sont des chiennes soumises,
Il débarque d'un autre ailleurs
Par quelques stratagèmes et leurres,
Il t'amène au delà du seuil
Pour qu'il n'y est plus aucun écueil,
Anal Jésus au Paradis
Blasphème, nu, où il a joui
Saphique Marie au Paradis,
Blasphème, nue, où elle a joui,
Satan, tes fils sont des loups insoumis,...

...Elles vont, drapées d'une aura
Prendre ta main vers au delà,
Tu passeras sous les Arches
La Vérité sera en marche,
Anal Jésus au Paradis
Blasphème, nu, où il a joui
Saphique Marie au Paradis,
Blasphème, nue, où elle a joui,
Satan, tes filles sont des louves insoumises,
Dieu, tes fils sont des chiens soumis,
Dieu, tes filles sont des chiennes soumises,
Dieu, tes foétus sont des futurs soumis
Satan, tes fils sont des loups insoumis,
Satan, tes filles sont des louves insoumises,
Satan, tes foétus sont des futurs libres.

Il est des évenements,
Dans les souvenirs,
Que l'on ne peut dater,
On les voit, les ressens,
Mais on ne peut les dater...
Montpellier une nuit.
Il ne fait pas froid, je ne me souviens pas qu'il fasse froid. J'ai mon sac a dos noir, avec tout ce qu'il faut dedans. Je ne sais plus de où je suis parti. Je me souviens d'elle. Défoncée. Moi aussi. Elle me dit que son pote dort dans une rue. Elle est assez jolie, des cheveux noirs, environ 25 ans, des yeux brun, habillée un peu zonarde mais cool. Je la suis. Je lui parle, je ne me souviens pas de ce qu'on se dit. On passe devant un garage. Ouvert mais pas éclairé, le garage d'une maison. Il y'a une Renault 19 garé dedans. Je ne me souviens pas la couleur. Foncé. Je lui dit « - C'est chez un pote à moi.». C'est faux. Elle regarde, hésite un peu et entre. Je rentre derrière elle, je met la main dans mon sac que j'ai ouvert pendant qu'elle regardait....

...J'ai la main sur une bouteille d'éther et l'autre main sur un mouchoir dans ma poche gauche. A coté de la bouteille d'éther dans le sac, il y'a un couteau. Grand. La fille avance un peu et se retourne. Elle me regarde et me passe devant pour sortir du garage. Elle sort. Je continue a la suivre. Saura t'elle un jour ce qu'elle a frolé ? Moi je le sais. Je continue a la suivre, autant je ne me suis pas dit une seule fois « - Je vais la tuer», autant là j'aime me dire que je vais la violer. C'est étrange mais ça ca me speede. Il ne me traverse même pas l'esprit de me dire je vais la draguer et juste la baiser, non, je veut la violer....

...On retrouve son pote, couché dans la rue. Super. On part tous les trois dans un squatt. Un ancien hopital. On reste pas longtemps, y'a un Polonais, a moins que ce ne sois un Russe, peut être un Serbe, qui se véner. On se retrouve dans le jardin du squatt. Elle est assise. Je la regarde. Elle a des traits marqués mais fin. Elle est attirante. On sort du squatt par une grille. La même que celle par où nous sommes entrés. La meuf a changé de comprtement avec moi. Elle est plus distante. Finalement ils vont s'endormir dans une entrée de batiment. Je me casse.

Jeudi 4 Février 2010. 1H05
J'ai trouvé mon nom de Wiccan : Solus. Je crois dans la force de la nature. Dans la Conscience de l'univers. Je crois au forçe d'ailleurs. Je sais que je peut m'adresser à elles. Je considèrent ces forces d'ailleurs comme tout ce qui hors de notre monde macroscopique. Elles ne sont point accessibles a nos sens mais elles sont là, tout autour de nous.Je choisis Solus parce que ces forçes d'ailleurs sont ressentie par chacune et chacun de différentes façons. Nous somme seuls façe à elle. Elles sont seules façe a nous. Elles peuvent nous aider à trouver la vérité. Pas seulement notre vérité,non,la vérité, l'infinie dont parlait William Blake. Il n'y à pas plusieurs vérités, il y'à une seule vérité que chacune et chacun d'entre nous ressent différement.Ils nous appartient de trouver la façon dont nous allons y accéder.Il n'y a pas de rêgles, pas de dogmes, pas de recettes miracles.Chacun doit trouver son chemin vers cette vérité,et le parcourir.Seul....

...J'entend par seul avec sa seule réflexion, ses propres ressenties, ses propres envies et ses propres craintes. L'homme est par nature un animal social. Il à besoin de contacts avec des congénères de son espêces.Seul ne veut pas forcément dire solitaire, il est, je pense, important, de partager ses expériences dans la recherche de la vérité.Si chacun à son chemin,et le parcourt seul, ces chemins sont tous dans la même partie de notre univers.Partager les expériences que nous y vivont ne peut être que bénéfique.En toute choses il y'a des dualités qui deviennent complémentaires : le bien et le mal, le jour et la nuit, l'homme et la femme. Il y'a donc dualité complémentaire également dans la solitude et la réunion. Je parcourt mon chemin seul, mais parfois, au détour de ce même chemin, se profile la clairière de la réunion.Et c'est dans cette clairière que nous pourrons échanger,raconter,donner et recevoir....

...Ce sont les forces d'ailleurs qui nous guident sur nos chemins, et tout ces chemins ne mênent qu'à une seule chose : la vérité.En me nourrissant, sans pour autant m'y noyer, des ressenties et expériences de chacun sur son propre chemin, je ne pourrait que mieux parcourir le mien, plus sereinement, avec plus de confiance.

De la part de Pascal pour Pussy
Merci pour les 7 ans de Fidélité, mais il maintenant temps de se quitter.
Je te libère ma chienne,
va au paradis des Anges, tu le mérites.
Je t'aime ma chienne,
je sais que tu est à coté de moi, comme avant.
Il n'a plus de souffrance, plus de violence, juste l'appaisement.
Il n'y à qu'un Paradis des Anges et on est tous ensemble.
Il faut savoir laisser partir ceux que l'on aiment.
Elle vient de partir, je l'ai libérée.
Je t'aime Pussy.
On se retrouvera, différement,
mais on se retrouvera, promis.
Va sur ton libre chemin,Je t'aime Pussy.
Adieu ma belle.
Je t'aime Pussy.